Qu’est ce qu’un bracelet Mala Tibétain ou Bouddhiste ?

Un bracelet mala, tibétain ou bouddhiste, se porte souvent par les pratiquants de méditation et de yoga. Il se distingue par sa forme en collier de perles, mais beaucoup de gens se demandent ce que c’est véritablement. Outre le fait d’être un joyau de tendance, il joue également un rôle crucial dans le monde spirituel.

L’origine des bracelets malas tibétains ou bouddhistes

Tout d’abord, le mot mala est un sanskrit qui a pour signification « guirlande« . D’ailleurs, un bracelet mala constitue des perles de méditation ou des perles de prière. C’est un outil ancien qui a été élaboré pour le maintien de l’esprit clair et concentré sur des pensées spécifiques. Un format complet se compose de 108 perles que l’on doit compter. Une perle supplémentaire est ajoutée, que l’on appelle une perle gourou ou meru.

Pratiquement, un bracelet de 108 perles est suffisamment long pour se porter. Par conséquent, le nombre de perles peut être réduit à 54 et à 27. Pour profiter de ses bienfaits, assurez-vous de ne porter que des bracelets Malas authentiques, tout en évitant les effets contradictoires.

L’anatomie des bracelets malas tibétains ou bouddhistes

Les bracelets malas tibétains ou bouddhistes peuvent se fabriquer à partir de plusieurs matériaux. Les perles les plus fréquemment utilisées sont fabriquées avec :

  • Du bois
  • Des graines
  • Des pierres précieuses
  • Des pierres semi-précieuses

En fonction du matériau sélectionné, ses propriétés assurent des effets énergétiques. De toute manière, des pratiques religieuses et spirituelles sont réalisées, lors de leur fabrication, en particulier pour les matériaux spécifiques. En Inde, la plupart des modèles sont faits du santal, des graines de rudraksha et du tulsi. Quant au Tibet et au Népal, on utilise de l’os, des graines de lotus et de bodhi.

Les types et les tailles des perles

En général, chaque bille de comptage a un diamètre de 6 à 10 mm et les 8 mm sont les plus courants. Pour une meilleure facilité de comptage et une réelle praticité, les pratiquants choisissent les perles plus grosses. Pourtant, le seul bémol réside sur leur longueur et leur poids trop importants. À l’égard de leurs types, elles peuvent se fabriquer avec un matériau unique ou un mélange de matériaux différents.

Pour une raison esthétique, des métaux peuvent s’utiliser comme un espacement pour une mesure décorative. Cependant, ils ne peuvent pas se compter et leur taille se diffère des autres afin d’éviter la confusion, lors du comptage.

Les caractéristiques des glands, des nœuds, des cordons et des comptoirs

En principe, les glands sont frais à partir de la soie et du coton. Les cordons de nylon ou de coton sont typiques aux bracelets malas. En Inde, chaque perle est maintenue par des nœuds. Tandis qu’au Népal, en Chine et au Tibet, aucun nœud ne relie les perles.

Par ailleurs, des styles tibétains disposent de deux compteurs qui se fixent sur chaque côté. Ils sont conçus pour les comptages à maintes reprises, voire à des milliers, pour les moines bouddhistes ou bouddhistes. Ils sont utilisés dans le mantra ou pour le comptage de leur respiration.